La Magie dans le monde.
Magie voyance a créé cette rubrique sur la magie pour vous, vous y découvrirez la magie de tous les continents. Toutes les pratiques occultes y sont représentées, la magie noire, la magie blanche, n'auront plus de secrets pour vous après avoir consulté cette rubrique.
La magie quoi qu'on en dise a toujours existé et existe encore de nos jours, non pas au plus profond de l'Afrique, mais elle peut être pratiquée dans le village d'à côté… La magie à ses adeptes aux quatre coins du monde, nous vous expliquerons par rapport à quoi, et surtout par rapport à qui.
Les sciences occultes ancestrales vous seront aussi expliquées, du nord au sud de l'Est à l'Ouest toutes les parties du monde pratique où on pratiquait la magie. Magie voyance espère que cette rubrique vous apprendra à connaître un peu mieux le domaine de l'occulte et de la magie.
Magie Africaine
La Magie d'Inde
En Afrique, il n’y pas une magie unique, mais des magies, chacune révélant l’une des facettes de vaste continent. Elles ont néanmoins un point commun : elles intègrent toutes des dieux et des esprits animaliers. Ces croyances s’expliquent par la présence d’une faune abondante
L’Afrique centrale
Cette région de forêt équatoriale est le grand centre mythique de l’Afrique avec ses sociétés secrètes, ses sorciers, ses guérisseurs et ses esprits. Les membres de l’ancienne société secrète nsoro portaient des masques noirs aux yeux proéminents, jouaient d’instrument de musique et avaient leurs propre emblèmes. On croyait que le chef des Tekes était entouré d’une aura sacrée lui permettant de voir dans l’autre monde. Le maquillage de son visage, les vêtements et les objets magiques qu’il arborait, renforçaient son pouvoir mystérieux. Son collier en dents de léopard lui donnait la force de l’animal et son bandeau frontal en cauris – des coquillages – représentait son lien avec les forces spirituelles.
Les devins komos portaient, quant à eux des masques ovales lors des sessions de divination nocturnes ; ils étaient, en outre, parés de plumes, de ceintures d’écorce, de bracelets en ivoires et de clochettes. Comme dans le reste de l’Afrique, leur bourses en cuir refermaient des amulettes de protections en matériaux naturels, comme les coquilles de noix de ou le bois.
Le Sud
Dans cette partie de l’Afrique, les rituels étaient souvent collectifs et exécutés au profit de la communauté. Par exemple, les Zoulous tuaient un « oiseau de paradis » et le jetaient dans une mare pour que la pluie tombe en remerciement. Les femmes, elles enterraient leurs enfant jusqu’au cou et hurlaient d’une voix suppliante en espèrent que le ciel se laisserait attendrir et enverrait la pluie par pitié.
Le grand serpent était considéré comme l’une des forces premières de la création, avec sa tête dans le ciel et sa queue dans les eaux terrestres, reliant ainsi les deux éléments. La mythologie du serpent cosmique était commune à toutes les régions d’Afrique. Les sorciers étaient des guérisseurs tant sur le plan médicale que spirituel.
Les Caffres se servaient de chèvres pour délivrer des villageois de leur maladie : ils barbouillaient l’animal du sang du malade, puis le libéraient afin qu’il s’éloigne des habitations. Dans certains endroits, la chèvre était sacrifiée, d’où l’expression « bouc émissaire ». Le jet des osselets et leur interprétation sont une forme ancienne de divination. Chaque os avait un côté positif, qui était décoré, et un côté négatif, laissé tel quel. Les osselets étaient choisis en fonction des qualités des animaux dont ils provenaient.
Magie Arabe
Dans le Sahara et Sahel, l’Univers était une « arbre cosmique ». On plantait autour des oasis des arbres représentant les niveaux de l’Univers : vigne pour le monde supérieur, grenadier pour la terre et figuier pour le monde inférieur.
Il y a moins de 1000 ans, le Sahara était une terre fertile. Les peintures rupestres de Tassili n’Ajjer représentent des parties verdoyantes et giboyeuses, et des rivières poissonneuses.
Dans le Sahara et Sahel, l’Univers était une « arbre cosmique ». On plantait autour des oasis des arbres représentant les niveaux de l’Univers : vigne pour le monde supérieur, grenadier pour la terre et figuier pour le monde inférieur.
Les Yorubas pratiquaient la divination avec des noix de coco lors d’une cérémonie appelée « oracle Ifa », où le devin était toujours un homme.
La danse et les masques jouaient un rôle capital dans la magie et les mythes, et représentaient l’histoire de l’humanité.
Les Dogons fabriquaient leur masques dans des cavernes à l’ abri des regards des non-initiés. Iles les portaient pour accomplir des rites initiatiques et funéraires ou éloigner les mauvais esprits. Au Togo, les « rituels d’expulsion » consistaient à nettoyer tout le village.
Une fois localisés, tous les démons étaient enveloppés dans des feuilles et des lianes et suspendus à des poteaux à l’extérieur du village. Le lendemain, les femmes balayaient leur maison et l’on empotait ces paquets dans la montagne, où ils étaient jetés au cours d’une cérémonie.
Magie Chinoise et Japonnaise
La civilisation chinoise est l’une des plus anciennes du monde. La structure de cette civilisation repose sur cinq éléments – le bois, le Feu, la Terre, le Métal et l’Eau -, le cinq étant un nombre magique. Ces éléments correspondent aux cinq saisons – qui incluent un centre « centre » mystique-, aux points cardinaux – comprenant également un « centre » - et aux cinq planètes. Le nouvel an et les autres fêtes chinoises sont calculés sur le calendrier lunaire.
Les feux d’artifice et la cacophonie des tambours et des cymbales servent à éloigner le diable dé le début de l’année. La divination chinoise est basée sur le yin et le yang. Le yang correspond à la chaleur, à la lumière et à la nature masculine, tandis que le yin correspond à l’obscurité et à la nature féminine. Etroitement liés, le yin et le yang représente les lois naturelle de l’Univers Le shinto est le plus ancien système de croyance du Japon.
Il est centré sur la vénération des kami, dieux habitant tous les êtres de la nature, dont les humains. On célèbre des fêtes dans des lieux saints ou des jeunes hommes et femmes portent l’effigie du kami local pour purifier le voisinage et les porteurs. Amaterasu, déesse du Soleil, est l’une des grandes divinités du Japon. Depuis le VIIe siècle, son principal sanctuaire bâti en cyprès et en chaume, à Ise, est régulièrement reconstruit.
Magie des Indiens d’Amérique
Les indiens d’Amérique se représentaient autrefois et peut-être, pour certains d’entre eux, aujourd’hui encore – la vie comme une trame complexe ou tout – aussi bien les être vivants que les objets – est relié. Pour eux, le « cercle sacré » était le centre de la vie et de la magie.
Chaque point de sa circonférence étant équidistant de son centre, le cercle illustrait la croyance selon laquelle toute force vivante, homme ou minéral, est égale : si une partie du cercle et abîmée, les autres partie en sont affectées, car nous partageons tous la même Mère Nature.
En Amérique du nord, plus de 500 systèmes de croyance utilisaient des «roues médecine » - on en a d’ailleurs retrouvé certaines datant de plus de 1000 ans. Construites en pierre, elles étaient alignées lors du solstice d’été. On confectionnait également des « sacs-médicine » dont les plumes, cailloux, grains, bois et pattes d’animaux qu’ils contenaient étaient des alliés dans le monde naturel. Ces sacs étaient employés pour se protéger, favoriser les visions et exécuter les danses solaires. Leur contenu était sacré. On portait sur soi des plumes, qui possédaient les qualités de l’oiseau dont elles provenaient.
L’aigle était l’oiseau le plus spirituel en raison de son excellente vue de sa capacité à voler très haut dans le ciel ; il emportait les prières des hommes vers le « le grand esprit ». Ses plumes servaient à décorer bouclier et fétiches. Les hochets rituels, quant à eux, avaient pour but d’éloigner les mauvais esprits. Les rituels et la magie des Indiens d’Amérique avaient pour objectif de mettre les individus en harmonie avec eux-mêmes et entre eux au sein du Cercle de Vie
La Magie des Inuits
Le monde magique des Inuits, ou Esquimaux, incluait un monde céleste et un monde sous la terre dominés par la déesse Sedna. Son père la trouvait si turbulente qu’il l’emmena en mer pour la noyer au large. Sedna s’agrippa fort au bateau, si bien que son père lui coupa les doigts
Les Inuits devaient s’assurer de la générosité de la mer, celle-ci était leur principale source de denrées alimentaire ; aussi leur chamans célébraient-ils des rituels pendant lesquels ils portaient des masques. L’esprit de la lune, le puissant chasseur, était aussi invoqué.
Les Inuits portaient des ceintures en crâne et serres d’oiseaux qui les protégeaient pendant la chasse. Les esprits des animaux étant sacré, on ne les tuait que par nécessité. Les offrandes apaisaient les esprits ; les parties non employées de l’animal retournaient sur le lieu de sa capture pour que son esprit renaisse.
Magie d’Extrême-Orient
Il y a bien des siècles, diverses formes de magie étaient pratiquées dans tout l’Extrême-Orient. On avait coutume d’utiliser des huiles, des herbes, des épices et des symboles en l’honneur des très nombreuses divinités de ces régions. En règles générale, la magie permettait à celui qui pratiquait t d’atteindre un état de sérénité suprême.
Sud-est asiatique
La tradition culturelle du sud-est asiatique a été influencée de la Chine et de l’Inde : seuls quelques endroits ont leurs propres croyances. A Bali, on se rassemblait aux carrefours, on se soufflait dans des cors pour rassembler les démons que les hommes, portant des torches et des masques de cérémonie effarants, chassaient alors au loin. On observait ensuite le silence pendant 24 heurs pour que les démons croient l’île inhabitée.
A Bornéo, on plantait un arbre fruitier à chaque naissance, car on pensait que le destin de l’enfant était lié à la croissance de l’arbre. Aux Philippines, on croyait que les âmes des ancêtres vivaient dans les arbres, et les habitants se prosternaient en passant devant eux. A Java, lorsqu’une fête devait se tenir au cours de la saison des pluies, on demandait au sorcier de «soutenir les nuages ».
Depuis 3500 ans, les mythes, la magie et religion en Inde se sont développés en intégrant progressivement de nouvelles croyances aux plus anciennes. C’est pourquoi la nature de ces croyances est plus complexe et variée qu’ailleurs dans le monde. On dit de ce pays qu’il a plus de dieux que d’hommes.
Le Rigveda, le premier des quatre livres sacrés de l’Inde, contient l’essentiel de la mythologie, de la cosmogonie et de la et de la philosophie brahmaniques. On y apprend notamment qu’Indra est le roi des dieux hindous et dieu du Cosmos. Il tient dans sa main droite la foudre dont il se sert pour lutter contre les démons de la sécheresse et garantir une bonne saison des pluies. Avant chaque bataille annuelle, il absorbe une boisson magique appelée « soma », l’élixir d’immortalité.
Il remporta sa première grande victoire en tuant Vintra, le serpent lové autour de la montagne du monde.
Il remporta sa première grande victoire en tuant Vintra, le serpent lové autour de la montagne du monde.
On trouve aussi Agni, dieu du feu, qui symbolise l’etincelle vitale présente dans toute vie. Médiateur entre les dieux et l’homme, il est toujours vénéré aujourd’hui, lors des fêtes domestiques et des rituels du feu. Brahma, le dieu créateur, fait partie de la triade brahmique avec Vishnu, protecteur du monde, et çiva, dieu de la destruction. La finalité de la mystique hindoue et d’échapper au cycle de la naissance, de la mort et de la renaissance, et d’entrer dans un état de conscience supérieur.
Magie européenne
Le mot sorcier signifie « jeteur de sorts ». Depuis me XVe siècle, il désigne les personnes pratiquant la magie. La sorcellerie est toujours pratiquée en Europe. En France, les « esbats », réunions mensuelles de sorciers, ont toujours lieu, et, en Italie, malgré la forte présence de l’Eglise, la vecchia religione a toujours de nombreux adeptes .Dans la majeure partie de l’Europe, la sorcellerie était une réminiscence des religions païennes locales. Celles-ci survécurent au moins 1000 ans après le développement du christianisme.
Le jeteur de sorts
Le mot sorcier signifie « jeteur de sorts ». Depuis me XVe siècle, il désigne les personnes pratiquant la magie. La sorcellerie est toujours pratiquée en Europe. En France, les « esbats », réunions mensuelles de sorciers, ont toujours lieu, et, en Italie, malgré la forte présence de l’Eglise, la vecchia religione a toujours de nombreux adeptes.
Aux XVIe et XVIIe siècles, le nombre impressionnant de personne torturées et condamnées à mort pour sorcellerie indique l’ampleur du phénomène à cette époque et à quel point cette croyance était ancrée. La persécution des sorcières se répandit rapidement à travers toute l’Europe, et des milliers d’innocent trouvèrent ainsi la mort.
La plupart des ces personnes ne faisaient que célébrer les fêtes païennes, dont notamment, celle des saisons. Or, l’église catholique avait ses propres fêtes les mêmes jours, mais ceux-ci avaient été qualifiés de jours saints pour les dissocier de leurs origines païennes. Les rites de fertilité pour les récoltes et les troupeaux de bétail attirèrent tout particulièrement l’attention des inquisiteurs, de sorte que les personnes les plus pauvres, vivant prés de la nature et se soignant par les herbes et les prières, furent accusées de sorcellerie et souffrirent plus que les autres.
Ironie du sort, le plus chrétien des symboles, la croix, remonte aux temps païens, des milliers d’années avant la naissance du christ. La crois est un symbole cosmique, un arbre de vie reliant le ciel et la terre : sa branche verticale représente la spiritualité, et sa branche horizontale, la dimension terrestre. On plaçait souvent une croix à l’intérieur d’un cercle représentant le soleil et l’éternité. Ensemble, ils symbolisaient la Terre et la révolution des quatre saisons. Dans de nombreuses formes de magie naturelle, ce symbole était utilisé pour attirer la chance et la protection.
Animaux et divination
Le dieu de la sorcellerie était toujours appelé le diable. Chaque fois qu’une nouvelle religion apparaît le dieu de l’ancienne religion devient souvent le diable de la nouvelle religion. On pensait que le diable s’incarnait dans un être humain ou un animal. Le premier témoignage de l’apparence humaine ou animale du diable se trouve sur les murs d’une caverne de l’Ariège, dans le sud de la France : sur une peinture, un homme est vêtu d’une peau de cerf et porte des cornes. En Allemagne et en France, le diable était probablement le dieu Cernunnos.
Le recours aux démons familiers pour la divination était répandu dans toute l’Europe. Le chef d’un group de sorcière imposait le démon familier à utiliser. En France, il s’agissait d’un crapaud, consulté avant toute entreprise. Aujourd’hui, lors des feux de la Saint-Jean pratiqués dans de nombreuses régions d’Europe, on fait passer du bétail à traverses les flammes pour les protéger. Les couples sautent au-dessus des flammes en y jetant de l’armoise et de la verveine, et en disant : « Puisse la malchance me quitter et brûler ici. »
Chacun remporte ensuite chez soi un tison pour le feu de sa cheminée. La magie du transfert était pratiquée en Europe, car on pensait pouvoir reporter le mal sur un animal ou un objet Au pays de Galle, on transférait les maladies à un poulet ; en Italie on guérissait la fièvre en la transmettant à un arbre.
Tradition runiques
Dans la tradition nordique, on employait des runes pour la divination. Le système runique d’aujourd’hui date probablement du IIIe siècle av. J.-C. Chaque rune représente une lettre de l’alphabet, mais possède aussi une signification propre, comme la fertilité ou la prospérité.
La divination runique consiste à jeter des pierres portant des symboles runiques et à les interpréter.
La Magie des Mayas
Pour capturer la sagesse de l’univers les Mayas construisaient des temples magnifiques. Des terrains d’un jeu proche de la pelote furent édifiés prés des temples, où l’on pratiquait des jeux rituels incluant des sacrifices pour apaiser les puissances donnant la vie.
Leur magie reposait sur la culture du maïs. Il offrait au dieu du Maïs, Ah Mun, ainsi qu’a d’autre divinités, du gruau de maïs et de l’eau présenté dans des récipients savamment décorés : le gruau représentait la vie et renaissance. Itzamna, dieu suprême des Mayas, était bienveillant, il possédait le don du dessin et de l’écriture et s’occupait des terres cultivées.
Les Mayas croyaient avoir deux esprits, dont l’un était invisible et divisé en treize parties. Ces parties pouvaient être volées par des sorciers et vendue au maître des la Terre, Ah Puch. Les chamans essayaient de trouver la pièce manquante à l’aide de « pierres parlantes » employées pour entreprendre des voyages visionnaires. Les « pierres parlantes » ou « pierres
Nombre magique
Pour trouver votre nombre personnel, affectez un chiffre à chaque lettre de votre nom à l’aide de la grille de numérologie hébraÏque. Selon le système hébreu, les voyelles sont « cachées » et ne s’écrivent pas, car elles sont attribuées au cœur et à l’aspect psychologique de la personne, tous deux cachés. Les consonnes représentent la sociabilité. A vous de décider si vous calculez toutes les lettres de votre nom, ou seulement les voyelles ou les consonnes.
Additionnez tous les chiffres. Si le total est supérieur à 9, continuez d’additionner jusqu’à ce qu’il ne reste qu’un chiffre. Par exemple, « John Smith » donne 1 +7 +5 +5 +3 +4 +1 +4 +5 = 35 ; 3+5 = 8, 8 est donc le nombre personnel de John Smith. Si l’addition de vos chiffres donne 11 ou 22, conservez ce nombre : l’un et l’autre représente un haut niveau de sagesse. 22 est le « maître nombre » ( il y avait 22 lettres dans l’alphabet hébreu), et 11 concerne les personnes qui ont des révélations.
Une fois que vous connaissez votre nombre personnel, vous pouvez l’employer de bien des façons : par exemple, pour déterminer le meilleur jour du mois afin de réaliser un sortilège, ou, avec la couleur qui lui est associée, pour choisir la couleur que vous porterez le jour du sortilège afin d’augmenter vos chances de réussite. Lorsque vous utilisez une chiffre en magie, essayez de visualiser ses attributs et de les orienter vers vos besoins spécifiques pendant que vous effectuez votre sortilège.
1- Pionniers, leaders, personnes très déterminées et parfois égocentriques. Le « 1 » est également associé à la richesse matérielle, la solitude et l’isolement.
2- Chiffre des individus passifs et réceptifs, gentils et sensibles, parvenant souvent à leur fins par la persuasion en douceur. Il est également lié à des pouvoirs psychiques.
3 -Puissant chiffre porte-bonheur des individus extravertis, créatifs et spirituels. Mais ceux-ci peuvent être dépensiers et manquer de persévérance.
4 Individus fiables, loyaux, travailleurs et bon organisateurs. Les « 4 » sont des anges gardiens, honnêtes dans tous ce qu’ils font et qui paient souvent le prix fort pour tout ce qu’ils réussissent.
5- Individus radicaux, rapides, curieux et impulsifs qui détestent perdre leur liberté. C’est également le chiffre du sexe, qui peut être la cause de relations problématiques.
6- Nombre parfait, qui représente l’harmonie, la beauté, la sincérité et l’affection. Personnalités créatives, artiste, mais parfois désordonnées et un peu prétentieuses.
7- Nombre magique des savants et des mystiques, des individus pleins de dignité et d’assurance. Les « 7 » paraissent parfois distant car ils ont beaucoup de mal à exprimer leurs pensées.
8- Symbolisme l’intuition, la prospérité et l’organisation. Personnalités solides, fortes et fertiles, les « 8 » réussissent par le travail et peuvent paraître pessimistes.
9- Intellectuels et idéalistes. Chiffre de la grande puissance, de l’autodiscipline et de l’ambition. Les « 9 » peuvent se faire remarquer et être jaloux ou inconstants.
11 -C’est le chiffre des personnalités à idéalistes. Les « 11 » se consacrent à leur travail et souffrent souvent pour le bien d’autrui.
22- Nombre maître, qui incorpore les qualités et les attributs suprêmes de tous les autres nombres.
Les couleurs de la magie.
La couleur est un élément complexe et important de nombreux systèmes magique. Tout autour de nous, elle produit parfois des effets saisissants, tel le rouge flamboyant du soleil couchant se reflétant sur l’océan paisible. Les couleurs douces créent un environnement apaisant, une atmosphère subtile, parfaite pour la médiation.
Chaque couleur possède sa vibration et son effet psychologique propres dont la plupart des gens sont inconscients. Depuis des milliers d’années, l’influence de la couleur est employée en Inde et en Chine dans les processus de guérison.
Blanc : domaine psychique, début d’une nouvelle phase. Eloigne les mauvais esprits.
Rouge : force vitale, puissance et détermination. Attire la chance.
Rose : couleur de l’amour de la réconciliation, de l’amitié, du bonheur et de l’harmonie.
Orange : symbolise la joie, l’optimisme et la volonté de réussir.
Brun : écran protecteur, sagesse naturelle et affinité avec la nature.
Jaune : stimule l’esprit et représente l’accomplissement et la connaissance.
Vert : apaisant et calmant, le vert symbolise la prospérité et la fertilité.
Bleu : couleur de l’esprit, représente la guérison, l’idéalisme et la protection occulte.
Violet : symbolise la force spirituelle et fait le lien avec les niveaux supérieurs.
Noir : châtiment et communication avec les morts. Symbolise la fin d’un processus mais également les germes d’un nouveau départ.
Argent : couleur des visions et de l’intuition. Fais ressortir un potentiel latent.
Or : symbole de grand réussite, de richesse et de longévité.
Arbres et plantes sacrés.
Mois celtique arbre Dates
Beith Bouleau 24 décembre-20 janvier
Luis Sorbier 21 janvier-17 février
Nuin Frêne 18 février-17 mars
Fearn Aulne 18 mars – 14 avril
Saille Saule 15 avril – 12 mai
Huathe Aubépine 13 mai - 9juin
Duir Chêne 10 juin – 7 juillet
Tinne Houx 8 Juillet – 4 août
Coll Noisetier 5 août – 1er septembre
Muin Vigne 2 septembre – 29 septembre
Gort Lierre 30 septembre – 27 octobre
Ngetal Roseau 28 octobre – 24 novembre
Ruis Sureau 25 novembre-22 décembre
Plantes et fleurs magiques.
Attirer la chance et la sérénité.
Dans toutes les cultures anciennes il y a eu un arbre sacré. Le choix de celui-ci dépendait de la situation géographique du peuple, mais sa signification magique et spirituelle était la même « Toucher du bois » pour attirer la chance ou en signe d’espoir est l’ultime manifestation des croyances ou l’on communiquait avec les esprits des arbres.
Chez les Celtes, les mois de l’année étaient liés au cycle lunaire. Les treize cycle de l’année étaient mesurés de la pleine lune à la pleine lune suivante, et portaient le nom d’un arbre sacré.
Mois celtique arbre Dates
Beith Bouleau 24 décembre-20 janvier
Luis Sorbier 21 janvier-17 février
Nuin Frêne 18 février-17 mars
Fearn Aulne 18 mars – 14 avril
Saille Saule 15 avril – 12 mai
Huathe Aubépine 13 mai - 9juin
Duir Chêne 10 juin – 7 juillet
Tinne Houx 8 Juillet – 4 août
Coll Noisetier 5 août – 1er septembre
Muin Vigne 2 septembre – 29 septembre
Gort Lierre 30 septembre – 27 octobre
Ngetal Roseau 28 octobre – 24 novembre
Ruis Sureau 25 novembre-22 décembre
Plantes et fleurs magiques.
Depuis les temps les plus reculés, on attribue des vertus surnaturelles aux plantes et aux fleurs. Les fleurs sont utilisées depuis longtemps pour marquer des événements importants, de la naissance à la mort, et les extraits de la plante sont très employés dans la pharmacologie moderne. Les plantes traditionnellement employées pour la divination et les visions étaient la mandragore, dont les racines ressemblent à une silhouette humaine, et le coudrier (hamamélis), dont les sourciers se servent toujours pour trouver de l’eau. L’euphraise et la verveine aidaient aussi à avoir des visions. Les guérisseuses et les sorcières vivaient alors proches de la nature et cultivaient leurs plantes elle-même.
Leur jardin était un sanctuaire dans lequel poussaient des herbes médicinales et magiques destinées à des sorts préservant d’un danger, ou pouvant attirer un être aimé et apporter chance, et bonheur, santé et richesse, spirituelle ou autre.
Symbole d’amour
Les roses, symbole universel de l’amour, sont employées dans des sortilèges depuis des siècles. Elles symbolisent la beauté et la perfection, la rose blanche étant par ailleurs l’emblème du silence. Pour les magiciens, le nombre de pétale d’une rose a un sens : sept signifie sept degrés de perfection absolue et huit la renaissance. Parmi les fleurs les plus utilisées dans les sortilèges d’amour se trouvent la nigelle de Damas, le myosotis et la pervenche. Les personnes délaisse par l’être aimé préfèrent, quant à elle, la pensée.
Pour attirer la chance, les alchimistes du Moyen Age employaient le millepertuis et l’alchémille. Les autres plantes porte-bonheur étaient le tournesol, la fleur de pommier, la verveine, le sceau de Salomon, l’impatience et la bruyère. Pour attirer l’argent, la monnaie-du-pape, la plante de jade, les chatons de noisetier et le romarin s’imposaient mais également le lilas, l’amandier et le chèvrefeuille.
Pour se protéger et éloigner les mouvais esprits, on recourait traditionnellement au chêne, au sorbier, au noisetier et à l’aubépine. La pivoine était sacrée pour les grecs et les chinois, et, en Europe, on enfilait ses graines sur une cordelette blanche que l’on portait au cou pour se protéger. L’épiaire était la f
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire